Découvrez les interviews de Raphaël Merlin, violoncelliste du Quatuor Ebène, parues ce jour dans L’Express, L’Impartial (Dominique Bosshard) et La Liberté de Fribourg (Benjamin Ilschner) !
Raphaël nous parle de l’immense Quintette de Schubert « où l’infiniment grand et l’infiniment petit se rejoignent en quelque sorte. un quintette incroyablement beau et émouvant. A chaque fois qu’on l’interprète, on retombe sur une espèce de miracle » (L’Express – L’Impartial), de la vie d’un quatuor « on vit sans chef d’orchestre, sans autorité, on fonctionne comme une coopérative » (La Liberté), de leur collaboration amicale avec Gautier Capuçon « il amène un grand savoir-faire, un niveau instrumental hors du commun, de même qu’une camaraderie extrêmement agréable. Cela faisait des années, en 2008 je crois, que nous avions décidé d’enregistrer le Quintette avec lui; il a juste fallu trouver le temps, le bon moment pour le faire. » (L’Express – L’Impartial) ; « Personnellement, je connais Gautier depuis nos études au Conservatoire de Paris. On était chez le même professeur de violoncelle, mais on se croisait peu. Plus tard, on a eu l’occasion de se revoir pendant des festivals et on a commencé à jouer ensemble. » (La Liberté)