Nymphe, fée, sorcière – l’amour est dans le pré avec Marie Perbost – focus sur Rusalka

« Et Marie inventa le stand-up lyrique »

Le Chant à la Lune est l’air le plus connu appartenant à l’Acte I de l’Opéra Rusalka de Anton Dvorak composé en novembre 1900 et construit en 3 Actes d’après le livret en tchèque de Jaroslav Kvapil. Cet opéra est presque considéré comme un opéra national tchèque, car plusieurs airs sont très similaires à des mélodies folkloriques, on y retrouve quelques harmonies typiques de la musique tchèque. Rusalka est créé en 1901, il est devenu l’opéra est devenu le plus célèbre d’Antonin Dvorak.

Pour conquérir l’amour du jeune prince qu’elle voit souvent se baigner dans le lac, la nymphe Rusalka demande à la sorcière Jezibaba de lui donner forme humaine, en échange d’un lourd tribut : elle perdra l’usage de sa voix et sera éternellement damnée si son amour n’est pas partagé. Le prince, d’abord séduit par la beauté de Rusalka, finit par se lasser de son perpétuel silence et s’éprend d’une princesse étrangère. Trahie, Rusalka est perdue. Lorsque le prince, accablé de remords, cherche à la retrouver, elle lui avoue que le baiser qu’il lui réclame lui serait mortel. Le prince l’enlace malgré tout et meurt dans ses bras. Après cette dernière étreinte, Rusalka disparaît pour toujours au fond du lac…

À écouter parmi d’autres airs intreprétés par Marie Perbost ce samedi 23 mars à 18h à la Grange aux concerts Evologia Cernier.

Lire un compte-rendu de la notre partenaire Resmusica sur l’interprétation de Marie Perbost ICI.

« Ah que c’est bête un homme, alors vous pensez deux! » – c’est Marie Perbost qui le chante:

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