Du chant funèbre ouvrant le 1er quatuor à la frénésie incandescente du 5e, c’est un véritable panorama de l’univers bartókien qu’il nous est donné de contempler. Un monde en soi, constamment marqué par l’héritage du folklore hongrois si cher au compositeur.
Deux ans après un volume consacré aux numéros « pairs » (n°2, 4 et 6), les musiciens du Jerusalem Quartet bouclent en experts un cycle incontournable de la musique de chambre moderne, une fresque musicale dessinée à l’échelle d’une vie !
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